


Au sommaire de cette page : la famille Flayac, la famille Nogaret, le livre de raison de Joseph de Nogaret, l'inventaire de 1701 - 1702, la succession de Joseph de Nogaret.
Suite au décès de Pierre de Pellegrue, la seigneurie de Valens a dû revenir à son gendre Pélegrin de Puch, conformément au contrat du 25 août 1474 (voir page précédente). Les seigneuries ne sont pas toujours l'objet de conquêtes guerrières, elles passent de famille en famille au gré des successions, et des alliances matrimoniales, notamment par les dots accordées aux filles.
Jeanne de Pellegrue, épouse de Pélegrin de Puch, décède en 1499. De cette date jusqu'à 1557, aucune information concernant Valens pour le moment : de quelle manière et à quelle date est-on passé de la famille de Puch à la famille Flayac ?
FAMILLE FLAYAC
La première trace d'un Flayac à Gensac est celle d'un notaire royal, Étienne, qui a reçu le testament de Vidau de Puch en 1516. Probablement le même devant qui a été passé le contrat de mariage entre Gassie Arnaud de Puch et Jeanne de la Cropte, le 5 février 1539. Les notaires appartiennent à la noblesse de robe, souvent suite à l'achat de leur office. Les autres nobles sont dits "d'épée" ou "d'extraction". Les privilèges sont les mêmes, fiscaux et politiques.
Le château de Valens appartient à la famille de Flayac dès 1557 : Pierre de Flayac est "seigneur de Valenz, Genssac" (In Nobiliaire de Guienne et Gascogne).
Jean de Flayac, époux de Marie de Puch, est dit sieur de Valens en 1640, dans le testament de sa belle-mère. Marie est la fille d'Ézéchiel de Puch, Seigneur de Pailhas et de la Tour de Montbreton coseigneur de Lugagnac 1589-ca 1639, et d'Isabeau de Castaing, et de ce fait, Marie est une descendante de Jeanne de Valens et de Pélegrin de Puch, à la cinquième génération. Mais puisque les Flayac sont déjà seigneurs de Valens en 1557, ce n'est pas elle qui amène Valens dans sa dot. Sa soeur Jeanne épouse Pierre du Mas, écuyer, sieur de Mélac et Jeanfaux (à Sainte Radegonde, juridiction de Gensac) en premières noces, puis en secondes noces Paul de Larralde.
Vers 1640 Isabeau de Flayac épouse Pierre d'Ailhe, juge royal de Gensac.
Vers 1650 le sieur de Valens est Isaac de Flayac.
Jeanne de Flayac (fille d'Isaac, décédée vers 1682) épouse Joseph de Nogaret. Valens passe à la famille de Nogaret.
Jacques de Flayac, témoin de l'inventaire de la maison noble de Valens en 1702, est présenté comme le cousin germain des enfants de Joseph de Nogaret, côté maternel.
Je n'ai pas réussi à établir de lien de parenté entre les différents membres de la famille Flayac : Jean, Isabeau, et Isaac, ni avec Étienne, le notaire...
FAMILLE PÉNY DE VALENS
Jacques, seigneur de Pény de Valens, épouse Anne Bouyc. Leur fille, Andrée, naît le 8 avril 1691 à Gensac. Une autre source indique le baptême à Coubeyrac (le 8 avril 1690).
En 1727, Flayac de Vallens, seigneur de Pény, épouse, à Pessac-sur-Dordogne, Sibille Labernède, fille de Jean, seigneur de Grangeneuve, et de Mlle Daille. Dans son commentaire sur le manoir de La Bernède à Pessac sur Dordogne, Drouyn écrit Jean Dupéni de Flayac...
Pény correspond au lieu-dit Pénic, en bas de Valens, de l'autre côté de la Durèze, sur l'actuelle commune de Coubeyrac. Le lieu n'est pas indiqué sur la carte de Cassini.
Un Jean de Flayac, seigneur de Peuy (Pény ?), est cité dans le testament de Jean Boyer, juge de Cancadoual (commune de Mouliets et Villemartin). Il s'agit très probablement de la même famille.
Par ailleurs, il y a un papier dans le coffre du grenier de Valens (inventaire de 1702), non daté, qui évoque un conflit à propos de l'utilisation du nom de Valens entre Joseph de Nogaret et le sieur de Pény.
Peut-être est-ce papier qui se trouve dans le Fonds Bigot, aux Archives Départementales de la Gironde, il s'agit d'un texte de quatre pages, écrit par Joseph de Nogaret, au sujet de ce conflit. Le texte retrace une conversation entre lui-même, le sieur Latourbeille et monsieur du Barrail.

Peut-il y avoir 12 ou 15 mois, que Mr du Barrail ayant abordé le Sr Latourbeille et moi, à la place de Gensac et de même temps, dit qu’il aurait reçu des nouvelles de M. Dardy et de M. de Valens, à quoi je répartis que d’abord, j’avais laissé M. de Valens à Valens, lors, le Sr Latourbeille dit, c’est M. de Pivert, ah bon M. de Pivert dis-je(?) mais non M. de Valens ; peu après dit le Sr Latourbeille, quand on l’appellerait Valens, ce ne serait pas une affaire, si fait, lui répartis-je, de manière que, tant que mon fils sera tendre à ne s’y pouvoir opposer, je répondrai pour Valens, et saurai bien empêcher que d’autres ne s’en appellent et leur faire quitter honteusement le nom et d’autant plus particulièrement que feu ma belle-mère, a désiré qu’il en fût nommé immédiatement après la mort du sr de Valens, mon beau-père et étant maître de même que mon beau-père, de ce qui donne la seigneurie de Valens et que, messieurs de Pény et de Pivert, vos neveux n’y ont rien ; outre ce qu’il se passa quelques paroles de rigueur, ce qui obligea le dit sr du Barrail de me tirer en particulier, croyant avoir dit quelque chose qui m’en donne lieu de me plaindre de lui, auquel je répondis : bien loin de là (!) et que je lui étais obligé de m’avoir découvert ce que j’eusse pu ignorer plus longtemps et lui ayant dit que le sr de Latourbeille et sa femme avait entrepris de nommer le sr de Pivert, leur neveu : Valens, après la mort du sr de Valens, mon beau-père…

FAMILLE DE NOGARET
La famille Nogaret ou Nougaret est une famille de petits gentilshommes, vassaux du châtelain de Montravel (commune de Montcaret, Dordogne). Suite au mariage de Marguerite, fille de Pierre avec un Vidal, la famille change de condition sociale, et de nom. Mais c'est un Pierre Vidal de Nogaret qui épouse Marthe de Ségur en 1617. Suite à quoi le nom Vidal disparaît...
Photo de droite : le moulin de Nogaret, commune de Montcaret. Il y a aussi un lieu-dit Nogaret sur la carte IGN, mais ce lieu-dit n'existe pas sur la carte Cassini.


Le château actuel situé à Montravel (photo ci-contre) a été construit à la fin du XIXe siècle sur les fondations de l'ancien château de Nogaret, lequel après sa vente en 1871, est tombé en ruines. La famille Nogaret est signalée à Montravel dès le XVIe siècle.
Les Nogaret obtiennent leurs lettres de noblesse en 1665, grâce à la famille Ségur, noblesse confirmée en 1674, mais qui sera encore l'objet de contestations par la suite.
Joseph Vidal de Nogaret est le fils de Pierre de Nogaret et de Marthe de Ségur de Parsac-Minzac. Il est né le 16 juin 1632.
Il est sieur de Nogaret et Valens, seigneur de Parsac. Il épouse Jeanne de Flayac en 1668 au temple de Libourne ; puis Louise de Ségur de Parsac-Minzac en 1684, dont il se sépare de biens deux ans plus tard.
Ce même jour dixième avril 1684 a été béni le mariage d’entre sieur Joseph de Nogaret, écuyer, seigneur des maisons nobles de Nogaret et de Valens, fils de feu Pierre de Nogaret écuyer et de demoiselle Marthe de Ségur, habitant de la maison noble de VALLENS, paroisse et juridiction de Gensac, ses père et mère d’une part et de demoiselle Louise de Ségur, fille de feu Pierre de Ségur, écuyer, seigneur de Parzac et de demoiselle Louise de Beaupoil, habitant de la paroisse de Montcaret ses père et mère d’autre part ;le dit époux âgé de cinquante ans, la dite épouse de quarante quatre ans, à la célébration duquel mariage ont assisté sieur Jofroy de Guerre, écuyer sieur de la Rouquete, cousin second ; du sieur Daniel de Carrière, écuyer, sieur de Montvert, ami dudit époux ; sieur Hellie Grenier, sieur de Moulon, ami de la dite épouse et Charles Grenier, avocat, ami de la dite épouse et ont tous signé. Transcription faite par Monsieur Jouhanneau.

Tous les enfants de son premier mariage sont nés à Gensac, et baptisés au Temple : Jacob en 1671, Jean en 1672, Jeanne en 1673, Pierre en 1676, Orphile en 1677, Guy-Aldonce en 1680, et Polamos en 1682.
Polamos fut baptisé par Monsieur de Misaubin (AD 33 Fonds Bigot, 8 J 73 - 74), probablement le même qui baptisa Étienne de Beaupeaupoil et Samuel de Curson. Ce pasteur publia vers 1633 à Sainte-Foy-la-Grande Apologie pour l'Antiquité de la Religion Réformée.

Joseph de Nogaret décède à Valens, le 14 décembre 1701, sans avoir fait de testament.
Ses enfants : Jacob, écuyer, sieur de la maison noble de Vallens, capitaine dans le régiment orléanais, et Jeanne, sa sœur, habitant Valens, demandent au notaire royal Dales de procéder à l'inventaire des biens de leur père, car il y a trois autres frères, Pierre, lieutenant réformé dans le régiment étranger de cavalerie, Guy-Aldonce, cavalier dans le régiment de Larrar, et Polamos, lieutenant réformé.
Ni Jean, ni Orphile ne sont nommés dans l'inventaire de 1702.
Le livre de raison de Joseph Nogaret ( 1670 - 1686)
Comme l'inventaire, il se trouve dans le fonds Bigot, aux Archives Départementales de la Gironde.
C'est essentiellement un livre de comptes : ceux qu'il fait avec ses métayers, ses vignerons. Il y note les dépenses : le cordonnier de Gensac, le précepteur des enfants, l'achat de tables de noyer..., et les recettes : la vente de vin, de noix, de pourceaux, de froment, d'herbe (foin !)...
Il y note également les engagements d'un valet, d'une nourrice, d'une gouvernante, et d'une petite servante pour laquelle est détaillé tout le trousseau auquel elle a droit :


Ont donc vécu et ou travaillé à Valens :
- en 1673,les métayers Pierre Boutin et Bernard Monmey, en 1676,le valet André Ramaleu (?), en 1679,le valet Pierre Doulery dit Coutié, et le métayer Lemoine, en 1681,le valet Jean Jenti de Pellegrue, et Monsieur Mounié, chargé de l'éducation des enfants, en 1682, Monsieur de Lamothe, chargé de l'éducation des enfants, et Jeanne Barbareau, gouvernante, en 1683 la petite servante Anne Chabrouti.
En août 1682, Joseph note les travaux qu'il a l'intention de faire. Précédemment, en 1679, il avait fait faire des travaux à Montravel, et la note indiquait bel et bien Montravel. Ici, le lieu n'est pas précisé, mais on est en droit de supposer qu'il s'agit de Valens, d'autant que les témoins de la convention sont des habitants de Gensac. Le maçon engagé est Maître Gérard, moyennant 30 écus, et les repas. Il est prévu de construire une écurie, un courroir (?), une loge pour les vaches, un toit pour les cochons, un chai, deux tours "de la grandeur et de la même façon que les deux grosses tours du corps de logis"... Ce sont les deux tours nord.
L'inventaire de 1701 - 1702
Joseph étant mort sans avoir fait de testament, il est procédé, après son décès, à un inventaire de ses biens, afin de régler sa succession.Cet inventaire est un descriptif détaillé des lieux et de ce qu'ils contiennent, tant à Valens qu'à Montravel. Il a lieu de décembre 1701 à février 1702, et est réalisé par le notaire royal Daler (ou Dales).
En sont témoins : Gabriel de Ségur, présenté comme le cousin de Joseph de Nogaret, Jacob de Puch et Jacques de Flayac, présentés tous deux comme cousins germains des enfants de Joseph, du côté maternel. Voir la page Familles associées.
Voici donc le contenu de cet inventaire, une occasion de visiter le château tel qu'il était en ce tout début du XVIIIe.
La chambre basse est la résidence habituelle des gens de la famille. S'y trouvent : une table carrée en bois de noyer recouverte d'un tapis de Bergame ; trois chalits avec leurs linceuls (draps), coitte, couvertes ou courtepointe, traversin empli de plumes, surciel, courtines ; trois cabinets à deux armoires, l'un contenant des pots de confiture, et deux cruches d'huile, les chemises et le menu linge de la servante, un autre du pain ; deux coffres : l'un contenant des linges appartenant à Jeanne de Nogaret, un autre empli de linceuls (draps) et de nappes. Dans la cheminée : deux chenêts, une pelle et une barre de fer.
De cette chambre, on passe à la cuisine qui la jouxte à l'est.
Dans la cuisine, se trouve une maie pour pétrir le pain, des tamis, des pots, des couvercles, deux poëlons, trois cuillères d'airain, des broches de fer, un chauffe-lit, une poële, une bassine et un chaudron d'airain, deux chandeliers, un gril, un trépied servant à la lessive plus un bujoir de douelle empli de linge à laver, quatre chaises, et une table pour les repas avec deux bancs.
De la cuisine, on passe à la fournerie qui jouxte la cuisine à l'est.
C'est la partie que j'habite : d'ailleurs, un bout d'arrondi dans le mur d'angle à côté de la cheminée est resté là pour confirmer.
Dans la fournerie, il y a un bujoir de pierre pour faire la lessive, une volière, deux barriques.

De la fournerie, le notaire passe dans un chai où se trouvent un pressoir, un douilh, deux barriques, une scie. Puis de ce chai à une chambre qui le jouxte du côté du couchant, où se trouvent un chalit, avec une coitte et un traversin, et des outils dont une hache.
Dans un deuxième chai, il y a des cuves à vin, des tonneaux, des barriques, un entonnoir...
De là, le notaire passe dans une tour qui est à l'ouest. Il s'y trouve quelques habits et chemises qui appartiennent au valet, Jean Carrin.
De cette tour, on va à l'écurie, où le notaire note seulement une crèche : pas de chevaux donc ?
De l'écurie, le notaire passe dans une deuxième tour, côté est où il n'y a que de la paille.
De cette tour, passage dans le grenier à l'est, où le notaire trouve un grand coffre pour les fruits, deux barriques, un autre coffre empli de papiers, un justaucorps, deux paires de hauts de chausse, et un manteau ayant appartenu à Joseph, ainsi que de la laine à matelas.
De ce grenier, on va dans la tour qui est au sud-est, où il y a des oignons et une filet (pour la chasse ?)
Puis de ce grenier, le notaire va dans un autre grenier, côté ouest, où il trouve quatre barriques défoncées, un récipient contenant des coquilles de noix, une barrique contenant des fèves, du froment, un coffre contenant des draps, des nappes, et des serviettes.
De ce grenier le notaire va dans la quatrième tour, qui jouxte ledit grenier à l'ouest où sont des soliveaux.
Dans la métairie qui dépend de Valens et se trouve proche de la maison, demeure un métayer du nom de Jean Faux (dit Faugère ?). Dans la grange de cette métairie, il y une paire de bœufs, une charrette, des outils aratoires, vingt-et-une brebis et quarante (sic) tables).
La très grande majorité des meubles, linges, vêtements, objets sont qualifiés d'usés, fort usés, vieux etc. Mais il semble, d'après des spécialistes, que ce soit une constante dans ce genre d'inventaire.
Le dépouillement des papiers du coffre a lieu plus tard : ce sont essentiellement des quittances, reconnaissances, transactions, accords, plus les contrats de mariage de Pierre de Nogaret avec Marthe de Ségur en 1617, et de Joseph de Nogaret avec Jeanne de Flayac en 1668. Certains de ces papiers concernent des fiefs ou des ténements sur les paroisses de Gensac, Claribès, Coubeyrac, Pessac, Juillac et Sainte-Radegonde. Ce sont des documents provenant des familles Valens, Flayac et Nogaret.
La succession de Joseph est réglée par acte notarié, le 31 janvier 1705. Jacob, en tant que premier enfant mâle, hérite, conformément au contrat de mariage de ses parents, de la moitié des biens, et ses frères et sœur : Pierre, Polamos et Jeanne (Guy Aldonce figure dans l'inventaire en 1701, mais pas dans l'acte de succession de 1705, on est en droit de le supposer décédé), se partagent l'autre moitié. Jacob hérite de la maison noble de Montravel, estimée 20 068 livres, la maison noble de Valens, estimée à 16 696 livres, revient à Pierre, Polamos et Jeanne, à qui Jacob doit verser une compensation financière sous forme de rente avec intérêts.
Mais il convient de séparer les propriétés et leurs terres. La succession de Joseph de Nogaret ne concerne que les biens meubles et immeubles
Après le décès de Joseph de Nogaret, c'est à son fils aîné, Jean-Jacob que revient le titre de seigneur de Valens, selon les vœux de Madame de Flayac mère, ainsi que l'écrit Joseph dans son livre de raison : « tant que mon fils sera tendre à ne s'y pouvoir appeler je répondrai pour valens et saurais bien empêcher que d'autres ne s'en appellent et leur faire quitter honteusement le nom et d'autant plus particulièrement que feu ma belle mère a désiré qu'il en fut nommé immédiatement après la mort du sr de valens mon beau-père et étant maître de même que mon beau père de ce qui donne la seigneurie de Valens… ». Jean Jacob, né à Gensac en 1671, chevalier, seigneur de Nogaret, de Valens, de Thoumely, de Goyas, et de Guron, décède à Bergues, dans le Pas de Calais en 1729. Il a épousé Marie Charlotte de Guilhem puis Anne-Marie-Antoine de Rameren dont il eut trois fils.Sur les deux actes de mariage, il n'est appelé que seigneur de Nogaret.
Au décès de Jean Jacob, en 1729, à qui revient la seigneurie de Valens ? De ses trois fils, seul un, Alexis, a eu des enfants, mais qui eux-mêmes sont restés sans descendance. Sophie, fille d'Alexis, est la seule et dernière héritière de la lignée. Elle est elle-même sans descendance, et laisse ses biens à Alexandrine de Puch en 1825.
D'autre part, la maison noble de Valens a peut être été mise en vente par ses trois propriétaires - Pierre, Polamos et Jeanne - pour pouvoir partager la valeur du bien.
La dernière mention d'un seigneur de Valens concerne donc Jean-Jacob de Nogaret en 1702, lors de l'inventaire. Son fils Alexis est seigneur de Thoumély. La mention suivante concerne Gabriel Léjunie en 1775.
En 1672, David de Nogaret est jurat de la ville de Gensac : quel est le lien de famille exact avec Joseph ?
Références de cette page (dans l'ordre d'apparition) :
O'GILVY, Nobiliaire de Guienne et Gascogne, T 3, éd Dumoil, 1860, page 259 : Role du ban (…) du 23 mai 1557.
DROUYN L. Généalogie de la famille Puch in Léo Drouyn et le Canton de Pujols, t.2, éditions de l'Entre-Deux-Mers, 2009, p. 32.
Actes de l'Académie Nationale des sciences, belles lettres et arts de Bordeaux, 1881, p. 335.
SAINT-SAUD (Comte de), Essais généalogiques périgourdins, Paris, 1934, page 59 sq.
AD 33 Fonds Bigot, 8 J 73 - 74
CAMPAGNE M. Histoire des Bacalan, Bergerac, 1905, page 87, note 3.